Appel aux Armes. Les D.P. Recrutent !

Un message punaisé bien visiblement.

Au moins ici, le message est à la vue de tous.
Ils est d'ailleurs destiné à vous qui passez par là. Vous avez tout de même trouvé notre repaire, un haut-fait qui mérite d'être noté !
Au passage nous vous informons qui les Deepblack Phoenix recrutent, en ce moment tout particulier nous acceuillons à bras ouverts toute personne désirant nous rejoindre
Nous sommes des mercenaires au service de la Déesse de Lune, hélas, l'Ordre est resté trop longtemps sans travail et nos combattant commencent à tomber dans l'oubli.
Mais aujourd'hui, une nouvelle ombre s'étend sur Azeroth, le Roi-Liche et ses séides étendent toute le fourberie pour vaincre les Peuples Libres en les pourissant de l'intérieur.
Le moment est venu de redresser notre bannière, mais pour y arriver, nous avons besoin de vous.
Posez vos candidatures, qui sait, vous êtes peut-être notre vent nouveau.

Nous vous invitons à déposer un message ici même ou soit par courrier, soit au détour d'un chemin, contacter les personnes suivantes.

Harmagill
Pialynn
Ermine
ou moi même.

( n'oubliez pas de lire la charte en passant)
En vous remerciant déjà.
Inwëh

Je ne sais pas quels seront les vents de mes lendemains.
Je ne suis pas seule maîtresse de mon destin.

Cependant j'ai une affection particulière pour cette guilde. Peut-être me rappelle-t-elle une douce période, une lointaine période.

Je ne connais pas la moitié d'entre vous mais j'erre souvent entre les murs de votre hall. Accusez ma curiosité, elle a le dos large... et je la prends souvent comme fautive.

Toujours est-il que je suis prête à honorer mon rang "d'ami de la guilde". Si vous avez besoin d'une fille de l'obscurité pour visiter les tréfonds gelés du Norfendre, sachez que mes dagues sont à votre disposition.

Je ne pourrais hélas gonfler vos rangs, je suis promise à d'autres organisations mais si besoin, sachez que je ne suis pas loin.

Je vous salue bien bas Deepblack Phoenix.
Je vous souhaite une bonne campagne de recrutement, et que votre bannière se dresse vaillamment au milieu du Fléau...

Silaë.

Pardonnez moi ne pas avoir répondu plus tôt.
Je vous répète les paroles que j'ai dites l'autre jour au dehors de cet endroit: j'apprécie votre geste et redit également qu'en tant qu'un des plus anciens de cet ordre, vous êtes plus que bienvenue en ces murs.
D'ailleurs nous garderons toujours un ou deux de ces EXCELLENTS muffins afin de vous restaurer.
Les mesures de recrutement ou du vous apparaître commes radicales et désespérées mais gardez l'esprir en paix nous avons traversé bien d'autres épreuves.
Aussi ,si par malheur, votre chemin croise de sombres évènements, ma mana sera vôtre aussi longtemps qu'il le faudra. Et je pense que ce qu"il des des Phoenix en fera autant.
Inwëh esquisse un sourire espiègle.
Puisse l'Ombre vous garder... et évitez la dernière pièce du second étage, Thokdok y fait des essais culinaires.

Oh mais rien ne presse.
J'ai eu la choix de participer à une sortie en votre compagnie.

Silaë esquisse un sourire gourmand
Ces muffins? Sont-ils si délicieux que vous semblez le dire? Ou dois-je comprendre qu'ils viennent des essais culinaires de Thokdok? Et dans ce compte-là, il vaut mieux que je passe mon chemin, non?

Silaë baisse sa capuche, et s'enroule dans sa cape.
Il vaut mieux que je m'éclipse tant que l'ombre est à votre porte.

*une flèche endiamantée vient se planté à coté du nom de l'Elfe et un long ruban se déroule le tout écrit en Elfique*

Arrêtée en plein geste, Silaë se retourna au bruit sourd de la flèche plantée dans le bois. Surprise, elle balaya le hall de guilde du regard, cherchant le mystérieux archer dans l'ombre du corridor. Sans succès. La jeune elfe, perplexe, fixa le ruban.

M'est-il adressé? se demanda-t-elle. Et pourquoi?

Silaë mordilla sa lèvre inférieur étirée par un sourire gourmand, signe imparable de la curiosité qui la dévorait alors. Hormis elle, le hall était désert. La voleuse glissa sans un bruit vers la flèche, posa sa main blanche sur le bois et, d'un coup sec, retira la pointe du mur. Puis, les sourcils froncés, elle commença à lire le ruban.

— De l'elfique, murmura-t-elle... Voyons voir.